Je n’ai plus quitté ce lieu où tu n’es rien Je fuis les vitres, je m’accroche aux reflets des lampadaires Je fuis les milles grands yeux plantés sur mon corps pour ne pas voir qu’ils sont quelqu’un Plus simple de voir des mains sans âme qu’un homme avide Avides, leurs mains, d’où coulent mon sang où sont passés l’espoir d’amour …